Venez l’écouter raconter le combat du peuple chagossien pour défendre ses droits, déporté vers l’île Maurice par le gouvernement britannique à la fin des années 1960. Un combat qui s’est prolongé jusqu’à aujourd’hui, devant la Cour internationale de justice, devant la Cour européenne des droits de l’homme et devant l’Assemblée générale des Nations unies.
Une séance de dédicaces est organisée à la suite de la remise du Prix du salon du livre du Mans.
Vous pourrez également retrouver Caroline Laurent l’après-midi à la librairie Doucet, pour une séance de dédicaces supplémentaire, organisée en partenariat avec la librairie et avec le soutien de l’association.
2019 – Changer le sens des rivières, Murielle Magellan (Julliard)
2018 –Un océan, deux mers, trois continents, Wilfried N’Sondé (Actes Sud)
2017 – Par amour, Valérie Tong Cuong (Lattès)
2016 – Un marin chilien, Agnès Mathieu-Daudé (Gallimard)
2015 – Échapper, Lionel Duroy (Julliard)
2014 – Et je prendrai tout ce qu’il y a à prendre, Céline Lapertot (Viviane Hamy)
2013 – Les Haines pures, Emma Locatelli (Albin Michel)
2012 – Le théorème de Kropst, Emmanuel Arnaud (Métailié)
2011 – Ex aequo Des clous, Tatiana Arfel (José Corti) et Nous sommes les oiseaux de la tempête qui s’annonce, Lola Lafon (Flammarion)
2010 – La Mer Noire, Kéthévane Davrichewy (Sabine Wespieser Éditeur)
« C’est court, c’est cru, c’est très littéraire, c’est satirique, c’est drôle, c’est féministe ! »
« Un petit bijou qui interroge sur beaucoup des travers de notre monde (autant législatifs que sociétaux). »
« Un roman caustique, avec une écriture, une vraie dynamique. »
« Un très beau livre sur la lâcheté, qui en parle très simplement, avec une très belle écriture. Les situations sont très finement observées et l’on est de tout cœur avec le narrateur. »
« Beaucoup de qualités dans ce texte, et beaucoup d’émotions à la lecture de ce récit littéraire. Hugo Boris parvient à atteindre, avec ce texte, le but essentiel de la littérature : faire advenir une forme de vérité, celle des émotions. »
« Ces instantanés, parfois violents, parfois drôles, souvent dérangeants, nous renvoient à nos lâchetés quotidiennes. Ces brèves saynètes égrenées au fil des pages ont le mérite de réveiller notre indifférence. »
« Un roman éblouissant, une véritable épopée teintée d’un humanisme puissant. Caroline Laurent nous raconte, dans une langue simple et poétique, la vie de ceux dont on ne parle jamais, les invisibles, les opprimés, les méprisés. »
« Un livre puissant de vérité. »
« Tout est réussi dans ce roman : le choix du lieu, l’émotion et l’analyse des caractères des personnages, le traitement du texte sur deux voix mère et fils, le fait historique méconnu… »
« Un plaisir de lecture impliquant le lecteur par son imaginaire pour ce roman d’aventure mystique et spirituel qui est aussi un conte politique et anthropologique. »
« Belle découverte que ce roman « exotique » qui conte le choc de la rencontre entre un homme d’affaires “pourri” mais dit civilisé et une communauté d’indiens vivant de peu et à la marge, mais en symbiose avec la faune et la flore de la grande forêt amazonienne. »
« Un conte écologique, d’une belle écriture, assez flamboyante, et qui ne se prive pas de dénoncer la politique de Jair Bolsonaro et ses encouragements au pillage et à la destruction de la forêt amazonienne et des quelques groupes d’indiens qui tentent d’y survivre. »
« Un roman plein de sensibilité, dont l’écriture coule de source. On s’attache beaucoup au personnage d’Eliza/Violet, qui n’en veut à personne. Sa relation avec sa mère, dans la deuxième partie du roman, est très belle. Ce roman nous dit aussi beaucoup des États-Unis d’après-guerre, et aussi d’après la crise de 1929. Formidable ! »
« On retient aussi dans ce roman de Gaëlle Nohant sa description du racisme (en France comme aux États-Unis), finement senti, ainsi que la psychologie de la société américaine des années 1960, encore profondément marquée par la crise de 1929, et par la ségrégation. »
« La qualité de l’écriture transforme une quête personnelle en un grand roman. Entre un Paris (idéalisé dans la mémoire) mais ville dure et âpre au quotidien et Chicago (sa ville qu’elle fuit), l’auteure traduit les quêtes d’Eliza Donnelley et ses mensonges de survie en une geste de libération. »